Ethan Schaeffer ♣ Fils de Merlin

Physique & psychologie
Physiquement, Ethan est un beau jeune homme bien que son nez soit légèrement de travers à cause de ses nombreuses fracture suite à une bagarre. Il est blond avec des yeux bleus. Il ne fait pas vraiment attention à comment il s'habille mettant souvent ce qui lui tombe sous la main. Même dans son placard, il n'y avait essentiellement que des sweat à capuche et des jogging.

Sinon, au niveau du caractère, il est :

Gentil -> Il ne manque jamais de gentillesse excepté lorsqu'il est en service. Sinon, on lui dit souvent qu'il se fait marcher dessus. Qu c'est une bonne poire.
Compréhensif -> Il sait faire preuve de compassion lorsque quelqu'un est dans la souffrance, il les réconforte jusqu'à voir l"ombre d'un sourire sur leur visage.
Modeste -> Il a tendance à se sous-estimer car il n'a pas confiance en lui.
Honnête -> Il ne sait pas mentir et déteste cela, il le fait le moins souvent possible même si c'est souvent cramé.
Impulsif -> Il agit sans réfléchir ce qui peut parfois lui causer des problèmes.
Sensible -> Bien qu'il ne soit pas susceptible pour autant, il ne sait pas masqué ses émotions et tout le monde peut lire chez lui comme dans un livre ouvert.
Violent -> Lorsqu'il est en colère, il lui arrive de vouloir se battre, il n'a sur le moment aucun scrupule à massacrer celui qui lui a causé du tort. Et même si c'est un peu cliché,il ne tape jamais les filles.
Loyal, protecteur -> Une fois qu'on à sa confiance, il est très loyal, et si jamais quelqu'un fait du tort à un de ses amis, il n'hésitera pas à le massacrer.

Le dernier jour avant ...
Mes jambes ne me portaient plus, le souffle me manquait et bientôt il me serait impossible de courir. Pourtant l'énergie du désespoir me porte, me forçant à avancer, toujours plus. Les arbres défilent, toujours aussi semblables. Les larmes coulent sur mes joues. Si mon corps se rapproche de mon but, tout mon être s'y refuse. La vérité faisait trop peur, et trop mal. Pourtant, j'avance. Et finalement, je le vois. Étendu sur le sol. Cette fois, mes jambes me lâchent et mes genoux touchent le sol avec un bruit sourd. Il est là, mort. Je rampe vers lui, incapable de me relever. Je ne sais pas combien de temps je reste là, allongé sur le sol près de lui. Je n'avais qu'un seul souhait, tout oublier. Je ne vis même pas la brume noir nous enveloppé. Tout ce que je sais, c'est que la douleur disparue. La douleur, et les souvenirs...

Je suis né un soir de printemps. Mon nom est Arthur. Comme le célèbre roi Arthur mort en héro, oui. Mon père est merlin. Oui, le célèbre sorcier. Ma mère, je ne l'ai jamais connu... Mon enfance n'a été que joie et tendresse. Mon père et moi voyagions de village en village et c'est lui qui m'a appris la joie de voir la reconnaissance et la gratitude se peindre sur un visage. Rendre le sourire à quelqu'un.

Même si nous étions des vagabonds, nous allions régulièrement voir Guenièvre. C'est elle qui m'a apporter cet instinct maternel qui me manquait. Mon père et elle étaient liés par la tristesse de leur ami commun, le regretté Roi Arthur. C'est étonnant comment un roi mort depuis si longtemps peut laissé une marque si forte dans tous les cœurs des habitants du royaume.

Puis j'ai découvert mes pouvoirs. Au début, les conséquences étaient désastreuses. Je ne contrôlais rien et enchaînait bêtise sur bêtise. Mais mon père s'est montré patient et j'ai appris. Il m'a aussi interdit de m'en servir. Pourtant, mon inconscience a fait que j'ai désobéi, et ça je le regretterais. Mais nous y reviendrons.

Au fil que les années passent, mon père et moi nous nous séparions de plus en plus souvent afin d'être plus efficace. Et alors que je soignai un enfant dans un village. Je l'ai rencontré. Zac. L'amour de ma vie. C'est lui qui m'a fait découvrir ma bisexualité, lui qui m'a tout appris. Je l'aimais tellement.

J'ai passé les meilleurs années de ma vie avec lui. Du coup, je ne voyageais plus, restant dans ce même petit village. Je ne faisais plus de magie. Si bien que les gens commencèrent à m'oublier. Un jour, un petit imbécile me provoqua disant que je n'étais qu'un usurpateur.

Je me suis énervé et à l'aide de mes pouvoirs, je l'ai propulsé vers l'arrière. Les choses ont dégénérées. Il s'est cogné la tête contre le sol et il est mort. Je l'avais tué. Les conséquences venaient de me mettre K-O. Mon inconscience avait tout gâché. Les jours ont passé mais la culpabilité me rongeait de l'intérieur. Zac essayait de me consoler mais je voyais bien qu'il pensait que tout était de ma faute. Avec raison.

Un jour, il dut partir aller voir son père, dans le village voisin. Et, à peu près une heure après son départ, une succession d'image défila. Cela m'arrivait des fois. Je vis Zac en mauvaise posture. Je me précipitai sur la route courant de toutes mes forces quand soudain quelqu'un me rentra dedans. Mon coeur se serra. je le connaissais. C'était le frère du gars que j'avais tué. Je lui est demandé ce qu'il avait fait et il me répondit avec un sourire froid "œil pour œil, dent pour dent...". Avec un cri d'horreur et de rage, je courus.

Mes jambes ne me portaient plus, le souffle me manquait et bientôt il me serait impossible de courir. Pourtant l'énergie du désespoir me porte, me forçant à avancer, toujours plus. Les arbres défilent, toujours aussi semblables. Les larmes coulent sur mes joues. Si mon corps se rapproche de mon but, tout mon être s'y refuse. La vérité faisait trop peur, et trop mal. Pourtant, j'avance. Et finalement, je le vois. Étendu sur le sol. Cette fois, mes jambes me lâchent et mes genoux touchent le sol avec un bruit sourd. Il est là, mort. Je rampe vers lui, incapable de me relever. Je ne sais pas combien de temps je reste là, allongé sur le sol près de lui. Je n'avais qu'un seul souhait, tout oublier. Tout était de ma faute. Si je n'avais pas laissé ma fieté de côté, il serait toujours vivant. Les conséquences de mon acte irréfléchi s'étaient enchaînés avec vitesse et je n'avais rien vu venir. Maintenant, je n'avais plus qu'à mourir pour le rejoindre et m'excuser à l'infini.

Je ne vis même pas la brume noir nous enveloppé. Tout ce que je sais, c'est que la douleur disparue. La douleur, et les souvenirs... Aujourd'hui, à l'heure qu'il est, je remercierai sans doute la méchante Reine pour m'avoir sauvé des abysses des Enfers.

Ma vie à Storybrooke est radicalement différente. J'étais pauvre mais je réussissais à survivre mais si je pratiquais des choses illégales. Au moins la culpabilité ne me ronge plus et la tristesse ne m'a pas achevé...